Dans ces reproductions, on voit la manière dont les typographes
de Monotype ont su adapter le travail du grand John Baskerville
aux conditions modernes de la composition ; la façon dont la version
ITC (au demeurant pas déshonorante) restitue le dessin des lettres,
mais ni leur esprit, ni leur rythmique ; enfin linfidélité flagrante
et la lourdeur de la version Berthold (celle de 1998, un peu plus
grasse et dœil encore plus grand que celle de 1992).
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