Cette collection de vingt-quatre calligrammes, sur des récits recueillis à la radio par Christophe Bourseiller ¹, tend vers la typographie expressive. Mais je considère ces pages comme une étude sur le gris typographique et son rapport avec le blanc de la page, bien plus que comme un jeu purement formel de distorsion des blocs de texte.

[1] Préparés en vue de la mise en pages des Histoires incroyables de l’émission « Tous les coups sont permis » (RTL), Christophe BOURSEILLER, Éditions First, Paris, 1995, la plupart des calligrammes présentés ici n’ont pas été retenus par l’éditeur (mais ce sont ceux que je préfère ;-)).