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À la
colonie pénitentiaire
de
Franz Kafka
Traduction par Laurent Margantin
| À
mon elfe, dont l’étonnement et le ravissement ne me lasseront jamais. |
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« Il faut se demander quel est le but de
l’imprimerie ? Est-ce la beauté d’un tableau,
ou la facilité d’une lecture. Est-ce la délicatesse des formes des lettres ; ou l’évidence des formes des lettres ? […] Le problème à résoudre pour arriver à la perfection des caractères d’imprimerie, est de savoir y allier la bonté des formes avec la force des formes, de manière à en faire résulter le plus grand effet pour l’œil. » Jean-François SOBRY, Discours sur l’art de l’imprimerie, 9 messidor an 7 (27 juin 1799). |
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J’avais
conçu la mise en pages de l’Artiste
de la faim,
de Franz Kafka, comme si ce petit livret devait être le premier d’une
collection, avec ses éléments répétitifs; : maquette de
couverture, empagement, police de caractères, etc. Il était dès lors
tentant de la mettre à l’épreuve avec un second volume, et c’est À
la colonie pénitentiaire
que j’ai choisi, toujours dans la belle traduction de Laurent
Margantin.
Puis
a suivi
Le
Cavalier au seau de charbon, toujours
dans une traduction de Laurent Margantin.
Au
lecteur de dire si le résultat est convaincant…
30
septembre 2015
Composition en Chronicle HTF, corps 10,7
Format : 10,5 cm × 17 cm, 80 pages hors couverture
Détails typographiques
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