j'en perds mon latin ! (principus lacrussus incipit est itaque carzy eimi).
» Très intéressant ! À ma connaissance (il est vrai limitée), les » lézardes, ruelles et autres cheminées sont peu exploitées. Quelqu'un
j'ai aussi vu « chemins de souris ».
» connaît-il des exemples d'immenses lézardes « volontaires » ? Pas trop » anecdotiques, plutôt dans le genre abstraction lyrique... Tu vois ce que
bon, en restant très anecdotique, je suppose que les livres cuttérisés de Vachey ne répondent pas vraiment à ta question... Mais, que dire des pavés lacérés ou estropiés de _Fuzzy sets_ de Claude Ollier ?
Sinon je réalisais récemment à quel point mes lectures de jeunesse (essentiellement le Livre de poche, je présume) aveint été guidées par ses coulures, et à quel point elles étaient fréquentes.
On a beau critiquer l'informatique, il me semble que la situation s'est améliorée au point de provoquer ce _désir_ (pervers, forcément pervers, j'y insiste !) de lézardes chez d'aucuns.
Thierry Bouche, Grenoble.