Tu as écrit :
> Je laisse les lézardes en place, trop content quand elles sont belles et
> grandes, et que le regard dégouline dedans. Très intéressant ! À ma connaissance (il est vrai limitée), les lézardes, ruelles et autres cheminées sont peu exploitées. Quelqu'un connaît-il des exemples d'immenses lézardes « volontaires » ? Pas trop anecdotiques, plutôt dans le genre abstraction lyrique... Tu vois ce que je veux dire ? Des pavés dont la couleur (la robe ?) serait plus proche de celle du zèbre (du tigre, voire plus modestement de l'okapi) que de celle de l'âne gris ou du chartreux... Amicalement, Jean-Pierre Lacroux ---------------------------------------------- Bibliographies, citations (langue française, orthotypographie) : http://users.skynet.be/sky37816/Lx.html Mise à jour : 3 octobre 1998 ----------------------------------------------