Jaime les colophons. Ce signe presque privé et intime de la part de création du copiste (au Moyen Âge) puis du typographe (à lère moderne), qui ne survit plus guère dans lachevé dimprimé, me semble hautement civilisé : on y raconte lhistoire du livre, on y prend la parole « pour soi », sur cette page-là uniquement. Cest ainsi que javais tenté de justifier le colophon des Chants de Maldoror, dans la page Web que jai consacré à ce travail effectué en 1998.
Sans doute chacun des dix-sept colophons présentés ici aurait-ils pu faire lobjet de commentaires similaires. Jai pensé, peut-être avec un peu de présomption, quils pouvaient vivre par eux-mêmes. En cliquant sur leurs images, on pourra les voir en taille réelle, au format PDF, chacun dans leur empagement. |
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Ces trois projets de colophon* ont été préparés pour Une traversée des Chants de Maldoror par L.L. de Mars, à paraitre le 4 janvier 2007 aux éditions Six pieds sous terre. |
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Cest la troisième version, peut-être la moins « baroque » et certainement la moins complexe, qui a été retenue par lauteur et par léditeur. * La seconde version est ici un détail, agrandi à 200 %, de la page complète. |
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